Teaser filmé et monté par Alice Boitard et Coleen Beuvelet. Musique : Mara, Foufoune.
Voulez-vous voir…
Vedettes Voraces à moustaches et à strass ?
Vénus Véhémentes fortes en gueules ou en poitrines ?
Vulves Virulentes en poëzizie et en chutes de reins ?
Venez-Vivre et Vite…Un vaste et voluptueux voyage, Une divine et déviante virée… chez Victor Victoria: cabaret « Va et Vient » de créatures interlopes en écrin bariolé.
À PARIS, AU TRUC, 17 Rue Fernand Léger, 75020
Ouverture des portes à 19H30, spectacle à 21H00, dance Floor dès 23H00 jusqu’à 3H00.
4 octobre, 9 novembre, 21 décembre, 17 janvier, 15 février, 8 mars, 11 avril, 3 mai et 6 juin / 24-25. Réservez vos places sur HelloAsso.com
Artistes associées à la Maison Jacques Copeau sur le projet CABARET 2024-2025.
Le Cabaret VI-VI c’est La Bellini l’affranchie-charnelle, Madame, la monstre- sacrée, et Robi, l’existen-cieL-iste.
L’une circassienne, l’autre comédienne-chanteuse lyrique et la troisième chanteuse indé se rencontrent au Cabaret Le Secret aujourd’hui devenu la Barbichette au
Moulin Rouge, créé et mené par le grand Monsieur K.
Victor Victoria-Cabaret TravestiEs, est né d’une urgence : dédier aux femmes et aux minorités de genre un espace scénique libre.
L’inclusivité est l’essence du projet, elle se déploie dans des univers et disciplines artistiques aussi variées que les créatures qui s’y meuvent, les révolté.e.s, les passionné.e.s, les impoli.e.s,
les insolent.e.s, les amoureu.x.ses , chanteu.r.ses lyriques, acrobates, performeu.r.ses, musiciennes, dragkings, effeuilleuses...
Le cabaret comme vaste terrain d’expérimentation de créations burlesques, folles, audacieuses et absurdes à l’esthétique tapageuse, outrancière autant que raffinée.
Le cabaret comme forme de réjouissance, de désobéissance, de résistance qui se gausse des codes de la morale et s’empare de toutes les paroles.
Les corps, les voix, les mots, les masques s’y enlacent et s’unissent pour élargir les carcans des espaces scéniques classiques et démolir les frontières imposées par la société patriarcale.
Victor-Victoria multiplie les plaisirs et livre au public la profondeur des pensées féministes dans un écrin de joie et de légèreté. Dans cette antre aux couleurs bariolées on crie, on pleure ,on rit, on aime, plutôt trop que pas assez. La liberté est une lutte que l’on mène main dans la main et une conquête à laquelle le public est convié.